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Relayé [?] par ©Valérie Sha Live Blog
Origine de l’homéopathie
Étude
effectuée par H.P Bopp Docteur en médecine à Saint-Gall
Suisse.
Comme d’autres
pratiques paramédicales, l’homéopathie prend de plus en plus une
place respectée dans la société et parmi le corps médical. Cette
pratique qui date du début du 19ème siècle, s’est
développée en depuis toute son histoire en dehors de la médecine
officielle, qui de son coté et depuis le 20ème siècle a
fait des progrès énormes dans la connaissance des maladies par la
physiologie et la biochimie.
Depuis
l’époque de son fondateur monsieur Hahnemann, l’homéopathie est
donc restée séparée de la médecine officielle allopathique par la
volonté de J.T Kent grand maître homéopathe américain (1849-1916)
qui tenait fermement à cette division entre les deux écoles. Voici
l’une de ses citations : « Il n’y a aucune
excuse valable pour s’égarer dans les voies obscures et infidèles
de la routine recommandée par la médecine traditionnelle… »
( La science et l’art de l’homéopathie page 174 et 175)
Certes,
les homéopathes ont raison lorsqu’ils condamnent les prescriptions
de médicaments puissants avec des effets secondaires, parfois
dangereux, pour des maladies souvent banales, ou des antibiotiques
parfois injustifiés pour des affections virales, mais tous ceux qui
furent guéris de graves maladies par la médecine officielle, ses
médicaments et ses nombreuses machines sophistiquées mesureront
certainement la dangerosité de tels propos !
Alors
qu’en est-il ? Un Chrétien cherchant à marcher dans la
lumière est dans l’obéissance à son Seigneur, ne doit pas se
laisser séduire par toutes sortes de philosophies et de pratiques
qui sont à la mode, surtout s’il s’agit de trouver de l’aide
pour son corps, le temple du Saint-Esprit (1Cor 6 : 19)
C’est pourquoi il est important d’examiner l’origine et la base
doctrinale de cette pratique homéopathique.
Samuel
Hahnemann, le père de l’Homéopathie
Le mot homéopathie est
de formation récente, il a été crée à la fin du 18ème
siècle par le médecin allemand Samuel Hahnemann, du grec homoios =
analogie et pathos = douleur. On définit alors l’homéopathie
comme un système thérapeutique qui consiste à traiter les maladies
à l’aide d’agents déterminants une affection analogue à celle
que l’on veut combattre.
Hippocrate,
né vers 460 avant Jésus-Christ, établit déjà deux principes
thérapeutiques : Le principe des contraires et celui des
similitudes. Galien (138-201) marque la thérapeutique de l’époque
par le principe des contraires qui est la base de la médecine
classique allopathique. Du grec alloios = différent et pathos
douleur. L’exemple suivant explique ce principe : Lorsqu’une
personne souffre de la diarrhée, on lui donne un médicament qui
constipe. Pour la constipation, on lui prescrit le contraire,
c’est-à-dire une substance qui provoque la diarrhée.
Au
Moyen Age, Paracelse (1493-1541) rejette les idées de Galien et
développe le principe de la similitude, identique à celui
d’Hippocrate. Il s’adonne à la recherche mystique par
l’alchimie, il cherche à analyser les correspondances entre le
monde extérieur (macrocosme) et les différentes parties de
l’organisme humain (microcosme).
Le
fondateur de l’homéopathie, telle qu’elle est enseignée et
pratiquée aujourd’hui est indiscutablement Samuel Hahnemann. Né
en 1755 à Meissen, fils d’un peintre sur porcelaine, bon étudiant
il fait des études de médecine à Leipzig, Vienne et Erlangen, puis
se marie avec la fille d’un pharmacien.
Il
échoue dans son travail de médecin à Leipzig, sa famille de onze
enfants vit dans la misère et l’on peut dire que son histoire est
une véritable tragédie : De ses trois fils, l’un meurt peu
après sa naissance, un autre, malade mental disparaît un jour
définitivement. De ses trois filles, l’une meurt à la naissance,
une autre à l’age de 30 ans, trois autres divorcent, (sort
tragique pour une femme de l’époque) et deux autres sont tuées. A
72 ans, Hahnemann perd sa femme et à 80 ans se remarie avec une
Parisienne.
C’est
donc à Paris qu’il passera ses dernières années de vie qui
seront assez glorieuses jusqu’en 1843 date de sa mort.
Mais revenons à son
temps passé à Leipzig où il commence à traduire des œuvres
scientifiques pour pouvoir nourrir sa famille. Le livre « matière
médicale » du DR Cullen d’Écosse attire son attention.
Intéressé
par la description de l’action du quinquina, (la quinine médicament
contre le paludisme) il commence à tenter des expériences sur lui-
même. Il constate que le quinquina produit les mêmes symptômes sur
lui que chez un malade atteint du paludisme. Il multipliera ses
expériences avec d’autres médicaments et en conclura la
définition d’une loi : Similia, Similibus curentur.
(Les semblables sont guéris par les semblables) Il commence à
attaquer la médecine officielle qui commet beaucoup d’erreurs par
l’emploi de traitements rigoureux et d’un répertoire restreint :
l’opium, les purgatifs et la saignée.
En
1810 il publie l’œuvre la plus importante en homéopathie
« l’Organon de l’art de guérir » ? C’est
dans cette publication qu’il développe toute sa doctrine. C’est
également le moment de la coupure totale avec la médecine
classique.
Jusqu’à
nos jours l’Organon est l’ouvrage de bases pour tous les
traitements homéopathiques. En 1960, au congrès international
d’homéopathie de Montreux, 260 médecins et pharmaciens
célébrèrent le 150ème anniversaire de l’Organon et
l’organisateur ajoutera que cet Organon est pour l’homéopathie
ce que la Bible est pour les Chrétiens. Il encouragea même
les disciple d’Hahnemann à méditer ce livre paragraphe par
paragraphe afin d’en saisir « l’esprit ».
Le
DR Gagliardi de Rome dira au congrès de Montreux : « On
a beau refuser tel ou tel des principes énoncés dans l’Organon,
il en reste toujours assez pour reconnaître l’intuition
inépuisable et l’esprit divinatoire de son auteur »
(journal Suisse d’homéopathie n°4 /1960)
Concernant
cette inspiration, il est intéressant de lire Hahnemann lui-même
qui dans une lettre au secrétaire municipal de la ville de Köthen,
en 1828 affirmait : « Je n’ai accompli que ce qu’un
individu peut faire avec ses faibles moyens, guidé par les pouvoirs
invisibles du Tout-Puissant, écoutant, captant ses indications avec
la plus grande attention et tenant compte de cette inspiration ».
Pour
mieux comprendre ses pratiques il est donc nécessaire d’étudier
un peu l’orientation spirituelle de Samuel Hahnemann. Nous
savons qu’il était membre d’une loge de francs-maçons, et il
est significatif qu’il ait mis sur le frontispice de son Organon la
devise franc-maçonnique « aude sapere » (ose être
sage).
Le
Dr H. Unger nous décrit bien sa personnalité spirituelle :
comme Goethe, Hahnemann réunit en sa personne les deux courants du
genre classique allemand : l’idéalisme panthéiste de la
nature et l’idéalisme rationnel de la franc-maçonnerie. (Journal
suisse d’homéopathie N°1 1962)
Plus
tard Hahnemann se rapprochera des religions orientales, puis prend
Confucius pour modèle, tout en rejetant
Jésus-Christ.
Doctrine
et méthode de l’homéopathie
- Loi de la similitude ou loi des semblables
Elle
dit : Le médicament apte à guérir un patient est celui qui,
expérimenté à dose pondérale sur l’homme sain, produit chez
celui-ci des phénomènes et des troubles semblables à ceux observés
chez le patient.
Par
exemple, à un malade atteint de vomissement, on donnera la substance
«Nux Vomica, hautement dilué. Nux Vomica est caractérisée par son
effet vomitif chez un sujet sain.
Tous
les médicaments homéopathiques guérissent les maladies dont les
symptômes se rapprochent le plus possible des leurs. ( Organon §
26)
Hahnemann
a construit toute une doctrine expliquant cette loi. Avant tout,
il considère l’homme comme un être tripartite :
- La volonté et la pensée ( = l’homme interne)
- L’énergie vitale, matière animique ou essence immatérielle (le corps éthérique des anthroposophes qui est le dieu Prânâ chez les hindous) Nous sommes ici dans la religion théosophique.
- Et le corps qui est matériel.
Dans
l’état de santé, l’énergie vitale immatérielle dynamis,
animant la partie matérielle du corps humain, règne de façon
absolue (Organon §9) Une personne devient malade quand un agent
morbide s’infiltre dans le corps et perturbe l’énergie vitale
par une influence dynamique. (Organon §11) Le remède doit donc agir
sur l’énergie vitale ; et pour y arriver, il doit ressembler
le plus possible à la maladie dans la totalité de ses symptômes
par expérimentation sur l’homme sain.
- La Pathogénie ou patogénésie
C’est
l’expérimentation de médicaments sur des personnes saines.
Hahnemann a expérimenté 60 substances sur lui-même. Les
homéopathes ont expérimenté environ 1000 substances :
minéraux, extraits de plantes, excréments
d’animaux, venins de serpents, d’araignées, et d’insectes
divers.
- Individualisation du malade.
L’homéopathie
ne cherche pas la maladie organique ou la lésion d’une partie du
corps. Elle essaie de trouver un remède qui correspond exactement à
l’individu malade.
Le
diagnostic et le choix du médicament se font sur trois niveaux :
- Par des symptômes subjectifs, c’est-à-dire que le médecin note la totalité des plaintes du malade.
- Par des symptômes objectifs, c’est l’examen du malade éventuellement au moyen d’investigations telles que radiographies, examens sanguins etc…
- Et par les symptômes inopinés, accidentels ou casuels, par un interrogatoire très précis, incluant les domaines de l’âme, le comportement dans la vie privée, l’étude de l’écriture ( graphologie), de la morphologie, l’iridologie et le signe astrologique etc…
- Miasmes ou diathèses
Les
maladies sont divisées entre le groupe des maladies aiguës et celui
des maladies chroniques. Hahnemann a établi trois grands miasmes
chroniques : la psore, la syphilis, la sycose. Plus tard on a
ajouté encore deux miasmes le tuberculinisme et le cancérinisme.
- Constitutions homéopathiques
Le cerbo-calcique (carbonique) : bréviligne, massif, résistant, caractère précis, rigoureux, sans fantaisie, volontaire, etc…
Le phospho-calcique (phosphorique) : longiligne, grand, souple, élégant, distingué, poli, aimant les beaux arts, etc…
Le fluoro-calcique (fluorique) : taille variable, squelette facilement déformé, sans élégance, agité, instable, etc..
- Infinitésimalité.
Le
médicament, choisi d’après le principe de la similitude, est
préparé par dilutions successives. Ces atténuations s’obtiennent
par des techniques bien définies évaluées en échelles décimale
et centésimale.
- L’échelle décimale : On part d’une teinture mère, de laquelle on prend une goutte, et on la mélange avec 9 gouttes de liquide, le plus souvent de l’eau, ce qui fait une préparation à 10%.
En mélangeant une goutte de cette première dilution avec 9 gouttes de liquide, on obtient la deuxième dilution décimale, désignée par le symbole D2. ce qui fait une préparation à 1%
- L’échelle centésimale implique le mélange d’une goutte de la teinture mère avec 99 gouttes de liquide. Ce qui fait une préparation à 1% Une goutte de cette première dilution centésimale mélangée avec 99 gouttes de liquide donne la deuxième dilution centésimale, représentée par C2 ou CH 2. Ce qui fait une préparation à 1 pour 10 000. A CH 3 nous en sommes déjà à une préparation de 1 pour 1000 000.
Il
faut savoir que les dilutions de bases vont de D1 à CH 5 (égale à
D10 ou 1 pour 10 milliards.) Ce qui pour être plus représentatif
représente une personne perdue au milieu de la population mondiale.
Les
dilution dites hautes vont de CH 6 à CH 30 et même jusqu’à CH
100 et plus.
En
ne prenant que CH10 nous en serions à une préparation de120
ou 1 pour 10000000 000 0000 000000. Ou 100 trillions.
Et
pour visualiser ce nombre de 100 trillions, il faut savoir qu’un
mètre cube de sable contient 2 milliards de grains et que la
dilution CH 10 représenterait un seul grain perdu dans une montagne
de 50 000 000 de milliards de m3 de sable.
Évaluation
scientifique
Scientifiquement, en
prenant l’exemple du sel NaC1 (chlorure de sodium), on peut prouver
par un simple calcul qu’il n’y a plus une seule molécule dans la
dilution à partir de CH12. Pour des substances organiques par
exemple Belladonna, cette limite est déjà à CH 10 ou 11 (nombre
d’Avogadro). Un malade recevant un médicament homéopathique CH 30
ne devrait pas se faire d’illusions sur sa composition, car il n’y
a plus aucune substance matérielle décelable scientifiquement dans
sa pilule ou dans sa potion.
Or
cette preuve mathématique ne dérange pas du tout les médecins
homéopathes. Leur doctrine affirme que plus la substance est diluée,
plus elle est active. Il ne s’agit pas et voilà leur grand secret
d’une simple dilution, mais d’une procédure nommée dynamisation
ou potentialisation, par des secousses répétées entre chaque
dilution.
Ces
chocs répétés permettent selon Hahnemann de capter et de fixer une
force invisible, qui est l’essence immatérielle, dans le liquide.
Nous laissons expliquer l’Organon §16 : « Le médecin
ne peut donc écarter ces troubles morbides qu’en faisant agir sur
cette énergie immatérielle des substances douées de forces
modificatrices également immatérielles qui sont les dynamiques
perçues par la sensibilité nerveuse partout présentes dans
l’organisme. De telle sorte que c’est seulement par leur action
dynamique sur l’énergie vitale que les remèdes curatifs peuvent
rétablir et rétablissent réellement l’équilibre biologique et
la santé. »
Rudolf
Steiner, l’initiateur de l’anthroposophie, avait les mêmes
notions de cette énergie vitale, invisible, qu’il nommait le corps
ou le monde éthérique. Les produits anthroposophiques Weleda, qui
sont en général homéopathiques, contiennent la même force
occulte.
Jusqu’à
présent, il n’existe aucune étude sérieuse, contrôlée qui
prouve une action efficace sur un groupe de malades traités par
l’homéopathie. Les résultats d’une série d’études
scientifiques faites en Allemagne ont tous été très décourageants
pour cette méthode.
Influence
occulte
Pour trouver le remède,
c’est-à-dire la plante pour la teinture mère de la préparation,
les chercheurs utilisent très souvent des
pratiques occultes comme le pendule. Le Dr A Voegeli,
médecin homéopathe célèbre, a confirmé qu’un pourcentage très
élevé d’homéopathes travaille avec un pendule.
Il
existe des groupes où la recherche de plantes se fait au cours de
séances spirites, par l’intermédiaire de
médiums qui demandent des renseignements aux esprits.
Le
témoignage d’une personne qui a travaillé dans un laboratoire
homéopathique français de bonne réputation, est très intéressant.
Elle raconte l’entretien qu’elle a eu avec l’ancien directeur
et fondateur de cette maison, dans le but d’être embauchée.
Après
une courte introduction, ce directeur lui demanda sous quel signe
astrologique elle était née. Satisfait des connaissances de sa
future collaboratrice dans ce domaine, il voulut savoir ensuite si
elle était médium. Comme c’était le cas, il lui confia le secret
des pratiques de la maison. De nouveaux
médicaments étaient recherchés au cours de séances spirites, par
l’intermédiaire de personnes douées de forces occultes pour
interroger les esprits. Aujourd’hui la personne
citée s’est convertie et suit Jésus-Christ. Elle s’est séparée
de toute pratique occulte, ainsi que de l’homéopathie.
Tous
ces faits ne sont guère étonnants lorsqu’on a lu l’Organon de
Hahnemann ou les autres ouvrages des maîtres homéopathes. En effet,
le vocabulaire est largement ésotérique et les idées sont
imprégnées de philosophies orientales. La notion de panthéisme qui
veut que « dieu » soit partout y prédomine. Le divin
serait dans chaque homme, plante, animal, minéral, cellule, et même
Dieu serait dans le médicament homéopathique !
La
question à se poser serait de savoir quel dieu ou quels dieux ?
Le
médicament connaîtrait mieux le malade que le médecin lui-même,
mieux que se connaît le patient.
Ni
le malade, ni le médecin n’auraient autant de sagesse et de
science que le médicament lui-même.
(Dr
Baur, journal Suisse d’homéopathie n° 2/1962 p 56) Ce paragraphe
précise clairement que le médicament est devenu dieu. Ce dieu
auquel se réfère constamment Hahnemann dans tous ses livres ne
correspond absolument pas au Dieu Tout-Puissant qui se révèle
dans la Bible.
L’Attitude
du Chrétien face à l’homéopathie
Le
chrétien s’inquiète avant tout de plaire à Dieu,
la Bible seule est son autorité. Or cette dernière avertit
clairement l’homme des conséquences de certaines pratiques très
prisées par les homéopathes.
Le
spiritisme et l’astrologie :
Lévitique
19 : 31 Ne vous tournez point vers ceux qui évoquent les
esprits, ni vers les devins ; ne les recherchez point, de peur de
vous souiller avec eux. Je suis l'Éternel, votre Dieu.
Lévitique
20 : 6 Si quelqu'un s'adresse aux morts et aux esprits,
pour se prostituer après eux, je tournerai ma face contre cet
homme, je le retrancherai du milieu de son peuple.
Lévitique
20 : 27 Si un homme ou une femme ont en eux l'esprit d'un
mort ou un esprit de divination, ils seront punis de mort ; on les
lapidera : leur sang retombera sur eux.
Deutéronome
18 : 10 à 12 Qu'on ne trouve chez toi personne qui fasse passer
son fils ou sa fille par le feu, personne qui exerce le métier
de devin, d'astrologue, d'augure, de magicien, d'enchanteur, personne
qui consulte ceux qui évoquent les esprits ou disent la bonne
aventure, personne qui interroge les morts.
Car
quiconque fait ces choses est en abomination à l'Éternel ; et c'est
à cause de ces abominations que l’Éternel, ton Dieu, va chasser
ces nations devant toi.
Le
pendule :
Osée
4 : 12 à 14 Mon peuple consulte son bois et c'est son bâton
qui lui parle ; Car l'esprit de prostitution égare, Et ils se
prostituent loin de leur Dieu. …Le peuple insensé court à sa
perte.
La
prise de médicaments homéopathiques est fortement déconseillée.
Les chrétiens ne doivent pas se laisser séduire par le fait que
l’homéopathie donne lieu à d’étonnantes guérisons. Il n’est
pas question ici de les nier, même si la médecine scientifique
manque d’explications. Mais la Bible nous enseigne que Satan, au
travers des hommes est capable de faire des miracles et des guérisons
spectaculaires.
Matthieu
24 : 24 Car il s'élèvera de faux Christs et de faux
prophètes ; ils feront de grands prodiges et des miracles, au point
de séduire, s'il était possible, même les élus.
2
Thessaloniciens 2 : 9 et 10 L'apparition de cet impie se
fera, par la puissance de Satan, avec toutes sortes de miracles, de
signes et de prodiges mensongers, et avec toutes les séductions de
l'iniquité pour ceux qui périssent parce qu 'ils n'ont pas reçu
l'amour de la vérité pour être sauvés.
Que
faut-il faire lorsqu’on a compris combien on s’est exposé à des
influences occultes ? Il faut tout d’abord, se
repentir et se séparer de cette influence ; croire de tout son
cœur, après avoir confessé ses péchés, à la délivrance totale
par le sacrifice et le sang précieux de Jésus-Christ sur la croix.
Un
entretien avec des chrétiens expérimentés dans ce domaine peut
également apporter les éléments nécessaires au parfait
rétablissement de la joie d’être en paix avec le Seigneur.
1
Jean 1 : 9 Si nous confessons nos péchés, il
est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour
nous purifier de toute iniquité.
Jean :
36 Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement
libres.
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