Comment Manon réussit-elle à stabiliser ses troubles bipolaires, sans médicaments, en compagnie intime avec son "Pote-en-Ciel" et grâce à ce qu'elle appelle ses propres "thérapies atypiques alternatives"?
Un témoignage de guérison passionnant, à découvrir et à partager sans retenues!
« Heureux
les fêlés, car la lumière les traverse! » dit-elle!
Manon,
Je suis médecin psychiatre impliqué dans le soin aux personnes bipolaires depuis des décennies, et j'avoue que j'ai découvert des données concernant cette pathologie grâce à votre livre !
Je suis bien conscient que nous, médecins, avons tant à apprendre de patients tels que vous !
Avec ma plus sincère considération, et dans l'espoir de pouvoir échanger avec vous de visu,
Daniel
Bonjour Mademoiselle,
Je suis maniaco-dépressif et j'ai lu votre livre. Et là, j'ai pris conscience que ma femme me harcèle moralement depuis 10 ans ! Quel choc ! Je ne savais même pas qu'on pouvait faire annuler un mariage, sans payer une fortune pour ça !
Je suis touché par votre sincérité, la profondeur et la précision de votre témoignage. Cela n'a rien à voir avec tous les autres livres que j'ai lus sur les troubles bipolaires (symptômes, médicaments ...). Votre récit est tellement vivant que c'est comme si vous étiez là pour le raconter !
Je ne sais comment vous remercier pour les prises de conscience que vous me permettez de faire ...
Vous êtes vraiment un exemple de personne complètement responsabilisée face aux maladies : quel tempérament !
Soyez assurée, Mademoiselle, de ma plus vive et sincère admiration pour tant de talents : quel "potentiel" !
Eric
Manon,
Je souffre de kleptomanie. Votre ouvrage est une bénédiction pour moi. Je n'ai jamais rien lu de tel sur le sujet. J'ai maintenant, grâce à vous, de l'espoir pour m'en sortir avec la thérapie que vous décrivez.
Merci du fond du cœur car j'étais désespéré et n'osais en parler à personne, tant j'avais honte de ma maladie.
Je reste sans voix devant votre courage qui dépasse l'entendement et face à votre relation intime avec Dieu !
Philippe
Manon,
Ton témoignage est très émouvant. J'ai été révoltée par ce que tu as vécu, bouleversée, mais aussi vivement encouragée dans ma foi. Merci pour ton courage unique !
Lydia
Retrouvez Manon ici dans une émission radio
http://www.vivrefm.com/podcasts/fiche/3228
Extrait de l'introduction :
Cet ouvrage relate exclusivement mon vécu, mon parcours chaotique parsemé de harcèlement moral, mais aussi de joie ! Je vous partage surtout les moyens par lesquels je m'extirpe de mon passé douloureux, et fais face à la bipolarité, sans détours, de façon authentique. Je caresse l'espoir de vous encourager si vous souffrez, de vous informer, voire de vous faire sourire !
J'aspire à vous donner des pistes d'amélioration si vous êtes dans la détresse.
Osez croire que donner un sens à l'insensé, sortir du gouffre malgré les échecs et les rechutes, grâce à une persévérance inébranlable, est possible.
Bienvenue dans mon cerveau maniaco-dépressif !
Tout d'abord, sachez que les troubles bipolaires ne constituent en aucune façon une faiblesse de caractère, ne relèvent pas de la simple volonté, mais correspondent à un dérèglement neurobiologique : c'est une maladie ! À une vulnérabilité génétique s'ajoute une
fragilisation au cours de l'enfance et de l'adolescence (due à des situations de carence affective, de perte, de maltraitance, etc.) qui constitue une vulnérabilité psychologique.
Ensuite,
l'environnement joue le rôle de détonateur par le biais
d'événements pénibles, de situations stressantes qui déclenchent
le cataclysme des troubles.
En outre, la maniaco-dépression est une maladie chronique («incurable» ?) et mortelle puisque 15% des personnes qui en sont atteintes mettent fin à leurs jours, ce qui est considérable. De plus, le taux de mortalité des bipolaires est deux fois plus élevé que dans la
population générale, non seulement à cause des suicides, mais aussi des conduites à risque, des pathologies cardio-vasculaires, etc.
En outre, la maniaco-dépression est une maladie chronique («incurable» ?) et mortelle puisque 15% des personnes qui en sont atteintes mettent fin à leurs jours, ce qui est considérable. De plus, le taux de mortalité des bipolaires est deux fois plus élevé que dans la
population générale, non seulement à cause des suicides, mais aussi des conduites à risque, des pathologies cardio-vasculaires, etc.
Enfin,
contrairement à une image trop souvent véhiculée par les médias
et destinée à générer la peur, tous les maniaco-dépressifs ne
sont pas psychotiques, ni violents ! En ce qui me concerne, maniaque
ou non, je n'ai jamais agressé quiconque, ne serait-ce que
verbalement !
J'ai toujours retourné la violence contre moi-même, plutôt que d'en faire pâtir autrui ! Je suis même extrêmement étonnée par l'apparence de calme, de sérénité que je dégage, selon le dire des autres. J'ai en effet appris à me maîtriser en toutes circonstances, y compris lorsque
mon être intérieur hurle de souffrance ! J'ai peaufiné l'art d'afficher une façade convenable, avenante, voire attirante !
J'ai toujours retourné la violence contre moi-même, plutôt que d'en faire pâtir autrui ! Je suis même extrêmement étonnée par l'apparence de calme, de sérénité que je dégage, selon le dire des autres. J'ai en effet appris à me maîtriser en toutes circonstances, y compris lorsque
mon être intérieur hurle de souffrance ! J'ai peaufiné l'art d'afficher une façade convenable, avenante, voire attirante !
Pour
moi, souffrir de maniaco-dépression est comparable à conduire une
voiture qui roule à la vitesse d'une tortue anémiée, voire tombe
en panne, m'obligeant à la pousser, de préférence avec l'aide
d'autrui : c'est une illustration des dépressions. Tout à coup, le
moteur
du véhicule s'emballe, d'où la nécessité urgente de freiner au maximum : c'est une image des phases maniaques.
du véhicule s'emballe, d'où la nécessité urgente de freiner au maximum : c'est une image des phases maniaques.
Cette
expérience est véritablement épuisante à vivre au quotidien,
surtout lorsqu'elle dure !
De plus, me concernant, il en était ainsi au début de la maladie. Mais cette dernière a ensuite évolué vers une forme beaucoup plus complexe avec notamment des épisodes mixtes comportant simultanément des éléments de dépression et de manie : la «machine» freine et accélère en même temps !
De plus, me concernant, il en était ainsi au début de la maladie. Mais cette dernière a ensuite évolué vers une forme beaucoup plus complexe avec notamment des épisodes mixtes comportant simultanément des éléments de dépression et de manie : la «machine» freine et accélère en même temps !
Éditions Salvator
103, rue Notre-Dame-des-Champs
75006 Paris
Communiqué de presse de l’éditeur
Moi, Manon, bipolaire de l’enfer à
mon chemin de liberté.
Témoignage d’espérance
En France, 600 000 personnes sont
atteintes de troubles bipolaires
Manon souffre de maniaco-dépression
autrement dit de bipolarité. Les troubles bipolaires sont une
pathologie de l’humeur. Elle oscille entre des périodes
d’excitation marquée (manie) et des épisodes dépressifs
sévères (mélancolie).
Ainsi, Manon nous relate son enfance
difficile, les maltraitances de sa sœur et l’absence de protection
de ses parents, l’influence négative qu’a eue son
arrière-grand-père sur la conduite de sa vie, son mariage
effrayant, son expérience rocambolesque au sein d’un éco-village
et sa lutte au quotidien contre les sérieux troubles bipolaires
dont elle est atteinte. Cette jeune femme nous dévoile comment,
grâce à ses propres « thérapies alternatives atypiques »,
elle a combattu les effroyables Troubles du Comportement Alimentaire
(TCA), les Troubles Obsessionnels Compulsifs (TOC) et la kleptomanie,
et comment elle a stabilisé sans aucun recours médicamenteux les
troubles bipolaires qui l’affectent. En se reconstruisant, elle
fait l’expérience de Dieu qui la sauve et qui la guérit. Depuis
Manon poursuit inlassablement sa quête spirituelle.
Manon Corvoisier est un pseudonyme.
Ingénieur agronome de formation, puis consultante en ressources
humaines, elle enseigne aujourd’hui la danse. Moi, Manon, bipolaire
est son premier ouvrage.
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