Relayé [?] par ©Valérie Sha Live Blog
On ne résoudra pas le problème de l’avortement en continuant à être des pharisiens, et je pèse mes mots. Notez aussi que je dis « NOUS » et pas « vous ».
Dans la manière dont les chrétiens traitent la
question de l’avortement, il y a, me semble t-il deux éléments
fondamentaux qui sont oubliés et ainsi, ils focalisent le problème
sur une fausse piste. C’est en cela que je dis que
le problème de l’avortement est traité avec une vue de pharisien.
Le premier problème est l’interprétation que nous faisons des commandements de Dieu.
« Tu
ne tueras pas »
Nous en avons fait : « empêchons de tuer ».
Ceci pourrait être tout à fait acceptable si pour
atteindre ce but nous utilisions les voies et les moyens donnés par
Jésus : amour du pécheur, action du Saint Esprit. Conviction
de péché et repentance, qui ne dépendent pas de notre bon vouloir
mais de l’action de l’Esprit chez le pécheur. Enfin en tant que
chrétiens nous devrions dans ce cas faire comme Jésus, et
accompagner, soutenir, être présents pour aider. Nous ne devrions
pas être des Ponce Pilate qui se lavent les mains de ce qui se
passera ensuite.
Malheureusement, d’une manière très humaine,
nous empêchons,
non en apportant une conviction de péché ainsi que nous le
demande le NT, mais manu militari, par la coercition, et le pilori,
ce que Jésus n’a jamais fait.
Face à un pécheur, Jésus à toujours pointé le
péché, laissant le pécheur libre d’accepter ou de refuser, et
d’assumer la responsabilité de SES actes.
Une fois que nous avons mis en place des règles qui empêchent, je devrai
plutôt dire cachent le
péché à notre regard, alors nous nous gargarisons en disant que
nous sommes « des bons chrétiens » « que nous
avons bien travaillé » « que nous avons respecté les
commandements de Dieu », sauf que nous n’avons rien fait de
tout cela, exactement comme les pharisiens, qui adaptaient la Loi de
Dieu à leur confort humain, ce qui veut dire :
que nous lions des fardeaux pesants et les mettons sur les épaules des hommes, mais nous ne voulons pas les remuer du petit doigt.
que nous lions des fardeaux pesants et les mettons sur les épaules des hommes, mais nous ne voulons pas les remuer du petit doigt.
Si nous agissions en tant que chrétiens face à
l’avortement, nous serions sur place, non pas pour brandir des
pancartes et des condamnations, mais pour parler avec ces femmes,
pour les convaincre et pour les accompagner dans la suite.
Il est facile de dire de ne pas avorter, mais est-il
aussi facile de dire, « je vais te soutenir financièrement,
moralement jusqu'à ce
que tu n’en aie plus besoin ». Cela ne se fait-il pas
pour les drogués, les SDF, les anciens tolars, les étrangers ?
Alors pourquoi cela n’existe t-il pas pour les femmes qui veulent
avorter ?
Un enfant c’est 25 ans de responsabilité à
assumer… et cette responsabilité nous refusons de la voir.
Ensuite nous serons les premiers à condamner les mauvais traitements
ou la négligence que subissent ces enfants, sans voir que nous
n’avons peut être pas fait ce que nous aurions du faire pour que
cette vie pour laquelle nous nous sommes battus, et qui leur a été
donnée, soit digne et respectueuse de leur personne.
C’est à cause de cette déformation de notre
place de chrétiens que nous pensons que la fermeture de centres IVG
est une victoire. Que nous acceptons sans broncher qu’aux États
Unis des médecins avorteurs soient tués parce que
Dieu a dit «
tu ne tueras
pas ».
Mais le résultat de tout cela n’est que mensonge,
et fausse bonne conscience, car l’avortement a toujours existé,
mais jusqu’à récemment il était un problème de femme,
caché, et traité entre femmes, qui s’avortaient elle même le
samedi soir, pour que le dimanche serve à l’expulsion et que le
lundi elles soient au travail (témoignages de femmes des années
60).
Aujourd’hui il est devenu un problème de SOCIÉTÉ, car il n’est plus caché, et il faut le résoudre en tant que problème de société. Le retirer de notre paysage en l’empêchant officiellement ne fera que le remettre dans l’ombre, mais il ne le résoudra pas.
C’est également cette fausse bonne conscience,
vite choquée et prompte à condamner quand une jeune fille accouche
seule et abandonne son enfant dans une poubelle... Mais quelle
solitude il faut vivre pour en arriver à une telle solution,
quel abandon moral, familial, matériel et… chrétien. Y avez vous
pensé?
Le second problème concerne la place du père.
En effet l’avortement est l’arbre qui cache la
forêt de la « lâcheté ? »,
de « l’irresponsabilité ? »
de ces personnes invisibles dont on ne parle jamais et qui pourtant y
ont toute leur place.
Je vais ici parler des hommes qui sont aussi des
pères.
Car certains hommes, malheureusement, sont prompts à condamner la mort d’enfants dont ils sont le père. (J’utilise le terme « certains », afin de ne pas heurter ceux qui sont des hommes en Christ, et des pères responsables. Je n’attaque pas Les hommes, je parle de certains hommes )
N’est ce pas la même hypocrisie que celle des
pharisiens qui voulaient lapider uniquement la femme adultère,
oubliant lâchement l’homme qui était avec elle, se réclamant de
la loi pour la lapider, oubliant lâchement que la loi disait de
lapider L’HOMME et la FEMME (Deutéronome
20.10)
N’est ce pas la même hypocrisie de faire de
l’avortement une affaire de femmes ? voire plus, un
péché de femme ?
Certains hommes sont prompts à réclamer leurs
droits sur un enfant quand cela les arrange, et tout aussi radicaux à
condamner quand l’enfant dérange, laissant
une seule personne assumer la responsabilité de deux…
Facilité du langage face au poids de l’acte.
Ce n’est pas UNE FEMME qui avorte ce sont des PARENTS qui TUENT leur enfant, un PÈRE et une MÈRE.
Certains hommes devraient être droits et reconnaitre leur place dans le don de la vie et dans leurs
responsabilités vis à vis de celle-ci.
Si les hommes veulent combattre l’avortement, ils
doivent commencer par assumer leur
responsabilité dans la création d’un être vivant.
Cesser de faire de la conception et de l’avortement un problème de
femme, pour en faire un problème personnel, de père.
Je crois que si Salomon était aujourd’hui avec
nous il rendrait le jugement suivant sur la question.
Si un enfant est
conçu, que la femme qui le porte l’assume. Si elle ne veut pas,
que le père qui l’a conçu l’assume. S’il ne veut pas, que
l’enfant soit coupé en deux et que chacun assume sa part…
Ce message est dû à des « poncifs » que j’ai trouvés dans le témoignage de Gianna Jessen.
Pourtant elle va faire de cet avortement une affaire de femme, dont elle exclue son père.
Dans la suite du message il
n’est plus nommé une seule fois.
Elle parle de sa mère, qui, elle, est venue à une de ses
conférences, pas son père, ce qui indique que l’acte
commis par cette femme la poursuit depuis des années.
Elle parle de l’avortement comme « un droit
des femmes…. ma vie allait être supprimée au nom du droit des
femmes », pourtant dès le départ elle précise SES parents.
Pourquoi le « mes parents » est-il devenu « le droit des femmes » ?
Pourquoi le « mes parents » est-il devenu « le droit des femmes » ?
Où est passé le père ?
J’ai eu un moment d’espoir, quand elle
interpelle les hommes sur leurs responsabilités, mais celles-ci ne
sont pas pointées. Comment faire prendre conscience à quelqu’un
de son erreur (péché) si on ne dit pas clairement l’erreur (le
péché) ?
Alors je les ai pointés clairement, afin que ce message ne serve pas simplement à ramener certaines choses dans l’ombre, en essayant de ne pas blesser ceux qui n’ont rien à voir avec ce que je dénonce, car le sujet est sensible et délicat.
Alors je les ai pointés clairement, afin que ce message ne serve pas simplement à ramener certaines choses dans l’ombre, en essayant de ne pas blesser ceux qui n’ont rien à voir avec ce que je dénonce, car le sujet est sensible et délicat.
Si nous voulons régler le problème de
l’avortement, nous devons le voir avec les yeux de Christ. Et pour
Christ l’avortement n’est pas un simple problème de « droit
des femmes », ce n’est pas un simple problème de société,
il est beaucoup plus complexe et pointe clairement la question à
laquelle nous sommes appelés à répondre.
Quels parents sommes-nous devant l’Éternel ?
Quels chrétiens sommes-nous devant Christ ?
Note
MAV:
Je
voudrai rappeler que dans l’Ancien Testament, les pères étaient
considérés par Dieu comme étant le plus gravement responsables. En
fait, l’acte de tuer un enfant, avec l’approbation du père, met
la malédiction sur toute sa famille …
lev
20:
2 Tu
diras aux enfants d’Israël : Si un homme des enfants d’Israël
ou des étrangers qui séjournent en Israël livre à Moloc l’un de
ses enfants, il sera puni de mort : le peuple du pays le lapidera.
3 Et
moi, je tournerai ma face contre cet homme, et je le retrancherai du
milieu de son peuple, parce qu’il a livré de ses enfants à Moloc,
souillé mon sanctuaire et profané mon saint nom.
4 Si
le peuple du pays détourne ses regards de cet homme, qui livre de
ses enfants à Moloc, et s’il ne le fait pas mourir,
5 je
tournerai, moi, ma face contre cet homme et contre sa famille, et je
le retrancherai du milieu de son peuple, avec tous ceux qui se
prostituent comme lui en se prostituant à Moloc.
Donc
pour Dieu, c’est l’homme qui porte toute la responsabilité.
Oui
mais:
les
femmes ont fait voter des lois qui leur donnent le droit d’avorter
sans même que le père ait le droit de s’y opposer. On en a
vraiment fait « une affaire de femme, » exclusivement.
J’ai
fait partie de cette génération de femmes soixante-huitardes, qui
ont revendiqué le droit à « disposer de leur corps »,
sans que les hommes aient le moindre droit de parole. En fait,
même si cela paraissait légitime après des millénaires
d’asservissement des femmes, que l’on voit toujours pratiqué
dans les pays islamiques et polygames, et, alors que cela paraissait
comme une libération extraordinaire des femmes, l’effet pervers,
en matière d’enfant, 55 ans plus tard, est terrifiant:
plus
le moindre repère, ni pour les femmes, ni pour les hommes en
matière d’avortement (ni pour les médecins et le corps médical,
et encore moins pour le législateur !).
Avant
1968, une femme qui avortait, c’était mal, c’était un meurtre,
elle le savait, mais quand elle le faisait quand même, c’était
souvent au péril de sa vie, avec l’aide des « faiseuses
d’ange », au risque d’une septicémie (j’en ai eu une).
On peut dire que c’était quasiment toujours parce que les
pères fuyaient leur responsabilité et parce que la femme se
retrouvait seule, face au problème, souvent dans l’incapacité à
l’assumer et en paniquant pour l’avenir (comme le montre bien
MJ).
On
oublie aussi qu’une grossesse pouvait être vécue comme
un cataclysme, quand c’était hors mariage et que cela la
mettait d’office au ban de la société, avec l’enfant ! Combien
de femmes se sont-elles vu mettre à la rue par leur père ou leur
mère parce qu’elles étaient enceintes et désormais considérées
comme la honte et l’opprobre de la famille !
Mais nous savions
aussi, justement pour ces raisons, que les pères qui ne
prenaient pas leur responsabilité étaient des lâches. Ce n’était
même pas des hommes au sens noble du terme; Nous savions que les
« hommes bien » endossaient leur responsabilité et
épousaient les femmes qu’ils avaient mises enceintes, au
moins pour que l’enfant ait un nom, un père officiel, et, bon gré
mal gré, ces enfants avaient une identité et souvent un foyer…
Ils n’étaient jamais tué ni mis à la poubelle…
Donc
je vais mettre un ajout à l’article de MJ:
nous
avons, nous, femmes chrétiennes, à nous humilier d’avoir
EXCLU les hommes de la paternité. La première qui a commencé,
c’était Eve, après la chute. L’écriture dit:
Gen
4:1 Adam connut Eve, sa femme; elle conçut, et enfanta Caïn et
elle dit : J’ai
formé un homme avec l’aide de l’Éternel.
C’est
elle qui prétend former l’homme, Dieu n’est plus qu’une aide
dans la création de la vie, et le père, Adam, est évacué de son
rôle de père….
Le
cataclysme est à la hauteur de ce déni: Caïn deviendra le plus
grand assassin de toute l’histoire humaine, puisqu’il a tué le
quart de l’humanité à lui seul, et ses rejetons ne sont plus que
des rebelles et des tueurs… La malédiction est terrible !
Ce
n’est donc pas une petite malédiction à laquelle on
s’expose quand on supprime aux pères leur indentité
de pères et donc leur droit à sauver et protéger leur enfant.
Un
caltaclysme comique, aujourd’hui quasiment universel.
Notons
que tous les trafics génétiques pour permettre à des femmes seules
d’avoir des enfants à partir de « sperme congelé »,
ou à des couples homosexuels à partir de la GPA ou PMA ou autre
sigle entraîne les mêmes malédictions.
La
génétique serait-elle devenue une science qui bafoue tous les
fondements divins ? Hélas oui, bien trop souvent !
Qu’est
ce donc que ce terme utilisé pour remplacer le mot de « père »:
« GÉNITEUR » ?! Comme si Dieu avait créé des
« géniteurs » juste utiles à déverser un goutte
de leur sperme pour leur propre plaisir en se lavant les mains des
conséquences, en ne comprenant pas que c’est un liquide de vie
donné par Dieu, et non un excrément sans valeur, et surtout en
niant ainsi toute leur identité. Ou bien on est père, ou bien on
n’a pas fait d’enfant. C’est l’un ou l’autre ! Et
l’enfant existe dès la conception !
Donc
le « géniteur » d’un enfant avorté est un père qui
a perdu son enfant, soit volontairement, donc il a tué et c’est
un enfanticide, soit parce qu’on lui a ôté tous ses droits
paternels… mais, bien souvent, il était tout à fait consentant
et soulagé qu’on lui ôte ses responsabilités ! Devant les
hommes, peut-être. Devant Dieu, sûrement pas !
LE
TERME GÉNITEUR EST ABSENT DE LA BIBLE, ET POUR CAUSE !
Alors,
ne renions jamais notre propre responsabilité, nous, les femmes ! Et
la plus grande responsabilité des hommes, c’est justement que ce
sont des hommes, en majorité écrasante, des parlementaires, qui en
donnant à la femme le droit de « disposer de leur propre
corps », ont délaissé à tout jamais leurs responsabilités
d’hommes dans la procrétion, la filiation et l’extermination
de leurs propres enfants …
Et
nous, nous étions vraiment insensées …
Que
Dieu puisse avoir pitié de nous. Car nous avons jeté à la poubelle
des enfants donnés par Dieu, par centaines de millions dans les
déchèteries de notre égocentrisme ….
Chacun
était unique. Ils avaient déjà leur âme et leur esprit, uniques à
tout jamais, au siècle des siècles, devant Dieu. Et aucun homme n’a
jamais été capable de « fabriquer » un enfant qu’il
détruisait, ni dans son corps, ni dans son âme, ni dans son esprit
!
TOUS
UNIQUES DANS LE COEUR DE DIEU, À TOUT JAMAIS, CONNUS PAR DIEU AVANT
LA FONDATION DU MONDE … et nous les avons jetés comme nous jetons
les ordures ménagères..; mais sans même jeter une regard sur eux !
Quelle
étrange liberté les femmes ont-elles donc conquise: celle de
mettre au feu leur propre enfant sans même qu’il ait le droit, ni
à un nom, ni à un père, ni à un regard, ni à un regret, ni à
une tombe… ?
Oui,
chaque fois que l’on tord les lois de Dieu, les effets pervers sont
épouvantables, ils le sont pour tout le monde:
-
Pour le père placé sous la malédiction pour toute sa famille et
parfois sur des générations.
-
Pour les femmes le plus souvent traumatisées à vie, avec un
sentiment de culpabilité refoulé, mais qui jaillit quasiment
toujours sur les autres enfants..
-
Pour les « rescapés d’avortements » ? Ces enfants
accueillis dans les ménages souvent après plusieurs avortements,
entre la fin du crédit automobile et du nouveau crédit ameublement,
qui savent qu’ils n’existent que parce qu’ils sont arrivés au
moment où ils ne dérangeaient pas trop !
-
Ne parlons pas des enfants jetés à la poubelle: comme s’il ne
souffraient pas ! d’innombrables vidéos nous montre
l’horreur cruelle des avortements. Ne parlons pas de ceux qu’on
découpe vivants dans certains pays car la loi y autorise
l’avortement jusqu’à 4 mois, 6 mois, ou même 9 mois de grosse !
(Japon et Chine)
-
C’est tous les pays qui ont accepté et voté ces lois infanticides
qui se sont mis sous la malédiction. L’immigration sauvage ne sort
pas de la poussière: elle représente en chiffre exactement le
nombre d’enfants jetés à la poubelle ! les peuples que Dieu avait
demandé aux Hébreux d’exterminer étaient justement ceux qui
jetaient leurs propres enfants au feu (au dieu Moloc): nous en
faisons autant !
DIEU
N’A PAS CHANGÉ
Des
jugements terribles attendent nos nations: 9 millions en France
(chiffre approximatif et certainement loin du compte) depuis la loi
Veil, censée ne s’occuper que d’exceptions insupportables ….
Oui,
nous avons, chaque pays, fait plus fort et mieux que Hitler,
côté liquidation eugénique: nous avons tué nos propres
enfants !
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