Hanoukah?
Si vous n'êtes pas familier avec cette fête, vous pouvez écouter et/ou télécharger cette étude audio commentée par notre frère Lorenzo Greco de l'assemblée http://bethyeshoua.org
Source: http://www.shalom-israel.info/?p=5080
Relayé [?] par ©Valérie Sha Live Blog
‘Hanoukah – un message tellement actuel !
Jamais, en ces temps de grand trouble dans le monde, Israël n’aura autant incarné le message de ‘Hanoukah ! Rappelons-en l’histoire, sachant que ‘Hanoukah
fête le miracle d’une fiole d’huile sainte retrouvée, permettant de
faire briller la Ménorah, le chandelier du Temple, durant huit jours.
Cette fête s’inscrit dans l’Histoire d’Israël comme l’admirable
résistance d’un petit peuple face au monde d’alors, le monde grec : La
Révolte des Maccabées est à la fois une révolte juive contre la
dynastie hellénistique des Séleucides (les Syriens), et un conflit
interne au peuple juif opposant des traditionalistes hostiles à
l’évolution de la tradition juive au contact de la culture grecque et
des Juifs hellénisants plus favorables au métissage culturel. Cet
épisode, qui se situe au 2e siècle av. J.-C., entre -175 et -140, est
raconté dans les deux premiers livres des Maccabées ». (wikipedia)
L’Eglise
d’aujourd’hui est à un carrefour, dont Israël est le paramètre. Elle
doit choisir son camp, en réalisant que les ennemis d’Israël sont ses
ennemis. Nous sommes dans une guerre de civilisation.
Un autre symbole de ‘Hanoukah est le dreidel, la toupie. Sur ses 4 faces sont frappées 4 lettres – Noun, Gimel, Hé et Shin/ נס גדול היה שם (Nes Gadol Haya Sham, « un grand miracle a eu lieu là-bas » – en terre d’Israël). La gematria, la valeur numérique des 4 lettres, curieusement, est celle de Mashia’h, le Messie. Il y a effectivement un sens prophétique lié à la fin des temps pour cette fête qui a lieu en hiver.
‘Hanoukah – un message tellement actuel !
Jamais, en ces temps de grand trouble dans le monde, Israël n’aura autant incarné le message de ‘Hanoukah ! Rappelons-en l’histoire, sachant que ‘Hanoukah
fête le miracle d’une fiole d’huile sainte retrouvée, permettant de
faire briller la Ménorah, le chandelier du Temple, durant huit jours.
Cette fête s’inscrit dans l’Histoire d’Israël comme l’admirable
résistance d’un petit peuple face au monde d’alors, le monde grec : La
Révolte des Maccabées est à la fois une révolte juive contre la
dynastie hellénistique des Séleucides (les Syriens), et un conflit
interne au peuple juif opposant des traditionalistes hostiles à
l’évolution de la tradition juive au contact de la culture grecque et
des Juifs hellénisants plus favorables au métissage culturel. Cet
épisode, qui se situe au 2e siècle av. J.-C., entre -175 et -140, est
raconté dans les deux premiers livres des Maccabées ». (wikipedia)
L’Eglise
d’aujourd’hui est à un carrefour, dont Israël est le paramètre. Elle
doit choisir son camp, en réalisant que les ennemis d’Israël sont ses
ennemis. Nous sommes dans une guerre de civilisation.
Un autre symbole de ‘Hanoukah est le dreidel, la toupie. Sur ses 4 faces sont frappées 4 lettres – Noun, Gimel, Hé et Shin/ נס גדול היה שם (Nes Gadol Haya Sham, « un grand miracle a eu lieu là-bas » – en terre d’Israël). La gematria, la valeur numérique des 4 lettres, curieusement, est celle de Mashia’h, le Messie. Il y a effectivement un sens prophétique lié à la fin des temps pour cette fête qui a lieu en hiver.
‘Hanoukah – un message tellement actuel !
Jamais, en ces temps de grand trouble dans le monde, Israël n’aura autant incarné le message de ‘Hanoukah ! Rappelons-en l’histoire, sachant que ‘Hanoukah
fête le miracle d’une fiole d’huile sainte retrouvée, permettant de
faire briller la Ménorah, le chandelier du Temple, durant huit jours.
Cette fête s’inscrit dans l’Histoire d’Israël comme l’admirable
résistance d’un petit peuple face au monde d’alors, le monde grec : La
Révolte des Maccabées est à la fois une révolte juive contre la
dynastie hellénistique des Séleucides (les Syriens), et un conflit
interne au peuple juif opposant des traditionalistes hostiles à
l’évolution de la tradition juive au contact de la culture grecque et
des Juifs hellénisants plus favorables au métissage culturel. Cet
épisode, qui se situe au 2e siècle av. J.-C., entre -175 et -140, est
raconté dans les deux premiers livres des Maccabées ». (wikipedia)
L’Eglise
d’aujourd’hui est à un carrefour, dont Israël est le paramètre. Elle
doit choisir son camp, en réalisant que les ennemis d’Israël sont ses
ennemis. Nous sommes dans une guerre de civilisation.
Un autre symbole de ‘Hanoukah est le dreidel, la toupie. Sur ses 4 faces sont frappées 4 lettres – Noun, Gimel, Hé et Shin/ נס גדול היה שם (Nes Gadol Haya Sham, « un grand miracle a eu lieu là-bas » – en terre d’Israël). La gematria, la valeur numérique des 4 lettres, curieusement, est celle de Mashia’h, le Messie. Il y a effectivement un sens prophétique lié à la fin des temps pour cette fête qui a lieu en hiver.
‘Hanoukah – un message tellement actuel !
Jamais, en ces temps de grand trouble dans le monde, Israël n’aura autant incarné le message de ‘Hanoukah ! Rappelons-en l’histoire, sachant que ‘Hanoukah
fête le miracle d’une fiole d’huile sainte retrouvée, permettant de
faire briller la Ménorah, le chandelier du Temple, durant huit jours.
Cette fête s’inscrit dans l’Histoire d’Israël comme l’admirable
résistance d’un petit peuple face au monde d’alors, le monde grec : La
Révolte des Maccabées est à la fois une révolte juive contre la
dynastie hellénistique des Séleucides (les Syriens), et un conflit
interne au peuple juif opposant des traditionalistes hostiles à
l’évolution de la tradition juive au contact de la culture grecque et
des Juifs hellénisants plus favorables au métissage culturel. Cet
épisode, qui se situe au 2e siècle av. J.-C., entre -175 et -140, est
raconté dans les deux premiers livres des Maccabées ». (wikipedia)
L’Eglise
d’aujourd’hui est à un carrefour, dont Israël est le paramètre. Elle
doit choisir son camp, en réalisant que les ennemis d’Israël sont ses
ennemis. Nous sommes dans une guerre de civilisation.
Un autre symbole de ‘Hanoukah est le dreidel, la toupie. Sur ses 4 faces sont frappées 4 lettres – Noun, Gimel, Hé et Shin/ נס גדול היה שם (Nes Gadol Haya Sham, « un grand miracle a eu lieu là-bas » – en terre d’Israël). La gematria, la valeur numérique des 4 lettres, curieusement, est celle de Mashia’h, le Messie. Il y a effectivement un sens prophétique lié à la fin des temps pour cette fête qui a lieu en hiver.
‘Hanoukah – un message tellement
actuel !
L’Eglise
d’aujourd’hui est à un carrefour, dont Israël est le paramètre.
Elle doit choisir son camp, en réalisant que les ennemis d’Israël
sont ses ennemis. Nous sommes dans une guerre de civilisation.
Un
autre symbole de ‘Hanoukah est le dreidel, la
toupie. Sur ses 4 faces sont frappées 4 lettres – Noun, Gimel, Hé
et Shin/ נס גדול היה
שם (Nes Gadol Haya Sham, « un grand miracle a eu
lieu là-bas » – en terre d’Israël). La gematria,
la valeur numérique des 4 lettres, curieusement, est celle
de Mashia’h, le Messie. Il y a effectivement un sens
prophétique lié à la fin des temps pour cette fête qui a lieu en
hiver.
Jamais,
en ces temps de grand trouble dans le monde, Israël n’aura autant
incarné le message de ‘Hanoukah ! Rappelons-en
l’histoire, sachant que ‘Hanoukah fête le miracle d’une
fiole d’huile sainte retrouvée, permettant de faire briller la
Ménorah, le chandelier du Temple, durant huit jours. Cette fête
s’inscrit dans l’Histoire d’Israël comme l’admirable
résistance d’un petit peuple face au monde d’alors, le monde
grec : La Révolte des Maccabées est à la fois une
révolte juive contre la dynastie hellénistique des Séleucides (les
Syriens), et un conflit interne au peuple juif opposant des
traditionalistes hostiles à l’évolution de la tradition juive au
contact de la culture grecque et des Juifs hellénisants plus
favorables au métissage culturel. Cet épisode, qui se situe au 2e
siècle av. J.-C., entre -175 et -140, est raconté dans les deux
premiers livres des Maccabées ». (wikipedia)
Cette définition de
Wikipedia révèle trois ennemis distincts : 1) les Syriens/Iraniens
(les Séleucides) représentant les Islamistes actuels, 2) le monde
grec, la civilisation occidentale, ne supportant pas cette exception
juive, et 3) les Juifs hellénisants que nous verrions comme les
Juifs de gauche antisionistes et ONG israéliennes soutenues par
l’Europe ou encore des hommes comme le milliardaire Juif George
Soros – voir LIEN.
Plus que jamais, selon le
monde, les Israéliens et les Juifs en général sont responsables de
tous les maux, même des attentats de Paris… Plus que jamais, on
exècre ce particularisme israélien qui empêche l’établissement
de la Paix, et notamment celui de la Palestine que l’ONU appelle de
ses voeux. Peu importe si c’est à la place d’Israël, il faut
bien que quelqu’un se sacrifie.
On ne peut s’empêcher
de relire les prophètes : « Oracle, parole de
l’Eternel sur Israël. Ainsi parle l’Eternel, qui a étendu les
cieux et fondé la terre, et qui a formé l’esprit de l’homme au
dedans de lui : Voici, JE ferai de Jérusalem une coupe
d’étourdissement pour tous les peuples d’alentour, et aussi pour
Juda dans le siège de Jérusalem. En ce jour-là, JE ferai de
Jérusalem une pierre pesante pour tous les peuples;
Tous ceux qui la soulèveront seront meurtris; et toutes les nations
de la terre s’assembleront contre elle » - Zacharie
12 :1-3.
C’est intéressant, car
en Genèse 12 :1-3, Dieu promet à Abraham (à Isaac et Jacob, et à
leur postérité), qu’il sera « une bénédiction
pour toutes les familles de la terre ».
Le monde ignore-t-il tous
les bienfaits dont le peuple juif a été l’instigateur, dans tous
les domaines – scientifique, médical, technologique, artistique,
agricole, sécuritaire… ? Les nations veulent-elles oublier
toutes les bénédictions amenées par Israël à l’humanité ?…
- Oui, car
Israël dérange, le monde ne voulant pas être redevable au peuple
juif.
Eglise, où es-tu ?
L’Eglise est tombée
elle aussi dans le piège de la Grèce, séduite par la déesse
Raison. Je cite un rabbin de Jérusalem, écrivant sur
‘Hanoukah : « Le conflit entre la philosophie
grecque et la Torah est celui, entre la “raison” et la “Emouna”
(la foi et la confiance totale en Dieu). C’est du moins, de cette
manière tendancieuse, que les “Grecs” présentent leur
opposition à la foi, comme si, servir Dieu, s’attacher à Lui et
Le suivre, impliquait que l’homme renonce à son intelligence et à
sa raison … La ruse des “Grecs” et du monde
occidental qui en découle, est qu’ils sont arrivés à persuader
le “monde” que l’Intelligence est du côté de la “liberté”
de pensée, et l’obscurantisme du coté de Dieu : le progrès
de la laïcité contre la pesanteur de la religion » (Rav H.
Dynovisz)
Dès le début, au 3e
siècle avec Origène, alors qu’Alexandrie était le siège
principal de l’érudition et de la littérature grecque et celui de
la théologie chrétienne, l’Eglise a bâti une théologie dans
laquelle elle a spiritualisé les Écritures, de telle manière
qu’elles ne devaient pas être comprises de façon littérale, mais
allégorique, y compris en ce qui concerne Israël.
Origène devint le père
de l’interprétation allégorique des Écritures. Il a conclu
que les masses de Gentils/Goyim constituant à présent l’Eglise
étaient « le nouvel Israël ». Il a conduit l’Eglise
séduite par la pensée grecque à développer la « théologie
du remplacement ».
Les Pères de l’Eglise,
Augustin, Jérôme, Ambroise, Chrysostome… ont continué à creuser
le sillon. Le roi Constantin a entériné cette pensée par
différents conciles et canons apostoliques, excluant shabbat et
fêtes bibliques, se démarquant de toute référence hébraïque.
L’Eglise a ainsi coupé ses racines juives, pour les replanter dans
le terreau du paganisme.
Il est intéressant de
noter que Platon et Socrate, les chantres de la pensée grecque, ont
développé trois points : 1) la séparation du séculier et du
spirituel, 2) l’implication dans l’homosexualité et la
pédérastie (ils l’étaient tous deux), 3) le modèle fasciste de
gouvernement dans l’ouvrage de « la République », en
utilisant la ville Etat de Sparte comme exemple, avec sa société
militaire et homosexuelle. La société idéalisée de Platon
comprenait notamment l’élimination de la famille comme entité
sociale (selon Derek White, “Théologie du remplacement”, Emeth
Editions).
‘Hanoukah, le combat pour
la lumière
Il est très intéressant
de voir actuellement des ‘Hanoukkiot se dresser dans de
nombreuses villes du monde ! Ce sont ces chandeliers à neuf branches
installés par le ‘Habad, le courant hassidique du
judaïsme. Et l’on voit souvent les grands de ce monde allumer les
bougies de la ‘Hanoukiah…
Le monde a besoin d’un
vrai miracle, symbolisé par celui opéré par Dieu qui a pourvu à
l’huile sainte destinée à garder vivante la flamme divine. Les
ténèbres sont à l’œuvre au travers d’une idéologie
terroriste tendant à asservir l’humanité, et d’une civilisation
tendant à expulser Dieu hors de sa pensée. Pour ceux qui se
demandent : « Que fait Dieu ?… », la réponse est
dans nos mains, celles de l’homme à qui Dieu a confié la
création ; nous en sommes responsables.
« J’ai
mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction.
Choisis la vie,
afin que tu vives, toi
et ta postérité… » - Deut 30 :19.
- See more at:
http://www.shalom-israel.info/?p=5080#sthash.wu2mTlZL.dpuf
‘Hanoukah – un message tellement actuel !
Cette définition de Wikipedia révèle
trois ennemis distincts : 1) les Syriens/Iraniens (les Séleucides)
représentant les Islamistes actuels, 2) le monde grec, la civilisation
occidentale, ne supportant pas cette exception juive, et 3) les Juifs
hellénisants que nous verrions comme les Juifs de gauche antisionistes
et ONG israéliennes soutenues par l’Europe ou encore des hommes comme le
milliardaire Juif George Soros – voir LIEN.
Plus que jamais, selon le monde, les
Israéliens et les Juifs en général sont responsables de tous les maux,
même des attentats de Paris… Plus que jamais, on exècre ce
particularisme israélien qui empêche l’établissement de la Paix, et
notamment celui de la Palestine que l’ONU appelle de ses voeux. Peu
importe si c’est à la place d’Israël, il faut bien que quelqu’un se
sacrifie.
On ne peut s’empêcher de relire les prophètes : « Oracle, parole
de l’Eternel sur Israël. Ainsi parle l’Eternel, qui a étendu les cieux
et fondé la terre, et qui a formé l’esprit de l’homme au dedans de lui :
Voici, JE ferai de Jérusalem une coupe d’étourdissement pour tous les
peuples d’alentour, et aussi pour Juda dans le siège de Jérusalem. En ce
jour-là, JE ferai de Jérusalem une pierre pesante pour tous les peuples; Tous ceux qui la soulèveront seront meurtris; et toutes les nations de la terre s’assembleront contre elle » - Zacharie 12 :1-3.
C’est intéressant, car en Genèse 12 :1-3, Dieu promet à Abraham (à Isaac et Jacob, et à leur postérité), qu’il sera « une bénédiction pour toutes les familles de la terre ».
Le monde ignore-t-il tous les
bienfaits dont le peuple juif a été l’instigateur, dans tous les
domaines – scientifique, médical, technologique, artistique, agricole,
sécuritaire… ? Les nations veulent-elles oublier toutes les bénédictions
amenées par Israël à l’humanité ?…
- Oui, car Israël dérange, le monde ne voulant pas être redevable au peuple juif.
Eglise, où es-tu ?
L’Eglise est tombée elle aussi dans le piège de la Grèce, séduite
par la déesse Raison. Je cite un rabbin de Jérusalem, écrivant sur
‘Hanoukah : « Le conflit entre la philosophie grecque et la Torah est
celui, entre la “raison” et la “Emouna” (la foi et la confiance totale
en Dieu). C’est du moins, de cette manière tendancieuse, que les “Grecs”
présentent leur opposition à la foi, comme si, servir Dieu, s’attacher à
Lui et Le suivre, impliquait que l’homme renonce à son intelligence et à
sa raison … La ruse des “Grecs” et du monde occidental qui en
découle, est qu’ils sont arrivés à persuader le “monde” que
l’Intelligence est du côté de la “liberté” de pensée, et
l’obscurantisme du coté de Dieu : le progrès de la laïcité contre la
pesanteur de la religion » (Rav H. Dynovisz)
Dès le début, au 3e siècle avec Origène, alors
qu’Alexandrie était le siège principal de l’érudition et de la
littérature grecque et celui de la théologie chrétienne, l’Eglise a bâti
une théologie dans laquelle elle a spiritualisé les Écritures, de telle
manière qu’elles ne devaient pas être comprises de façon littérale,
mais allégorique, y compris en ce qui concerne Israël.
Origène devint le père de
l’interprétation allégorique des Écritures. Il a conclu que les masses
de Gentils/Goyim constituant à présent l’Eglise étaient « le nouvel
Israël ». Il a conduit l’Eglise séduite par la pensée grecque à
développer la « théologie du remplacement ».
Les Pères de l’Eglise, Augustin,
Jérôme, Ambroise, Chrysostome… ont continué à creuser le sillon. Le roi
Constantin a entériné cette pensée par différents conciles et canons
apostoliques, excluant shabbat et fêtes bibliques, se démarquant de
toute référence hébraïque. L’Eglise a ainsi coupé ses racines juives,
pour les replanter dans le terreau du paganisme.
Il est intéressant de noter que Platon
et Socrate, les chantres de la pensée grecque, ont développé trois
points : 1) la séparation du séculier et du spirituel, 2) l’implication
dans l’homosexualité et la pédérastie (ils l’étaient tous deux), 3) le
modèle fasciste de gouvernement dans l’ouvrage de « la République », en
utilisant la ville Etat de Sparte comme exemple, avec sa société
militaire et homosexuelle. La société idéalisée de Platon comprenait
notamment l’élimination de la famille comme entité sociale (selon Derek
White, “Théologie du remplacement”, Emeth Editions).
‘Hanoukah, le combat pour la lumière
Il est très intéressant de voir actuellement des ‘Hanoukkiot se dresser dans de nombreuses villes du monde ! Ce sont ces chandeliers à neuf branches installés par le ‘Habad, le courant hassidique du judaïsme. Et l’on voit souvent les grands de ce monde allumer les bougies de la ‘Hanoukiah…
Le monde a besoin d’un vrai miracle,
symbolisé par celui opéré par Dieu qui a pourvu à l’huile sainte
destinée à garder vivante la flamme divine. Les ténèbres sont à l’œuvre
au travers d’une idéologie terroriste tendant à asservir l’humanité, et
d’une civilisation tendant à expulser Dieu hors de sa pensée. Pour ceux
qui se demandent : « Que fait Dieu ?… », la réponse est dans nos mains,
celles de l’homme à qui Dieu a confié la création ; nous en sommes
responsables.
« J’ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie,
afin que tu vives, toi et ta postérité… » - Deut 30 :19.
- See more at: http://www.shalom-israel.info/?p=5080#sthash.wu2mTlZL.dpuf‘Hanoukah – un message tellement actuel !
Cette définition de Wikipedia révèle
trois ennemis distincts : 1) les Syriens/Iraniens (les Séleucides)
représentant les Islamistes actuels, 2) le monde grec, la civilisation
occidentale, ne supportant pas cette exception juive, et 3) les Juifs
hellénisants que nous verrions comme les Juifs de gauche antisionistes
et ONG israéliennes soutenues par l’Europe ou encore des hommes comme le
milliardaire Juif George Soros – voir LIEN.
Plus que jamais, selon le monde, les
Israéliens et les Juifs en général sont responsables de tous les maux,
même des attentats de Paris… Plus que jamais, on exècre ce
particularisme israélien qui empêche l’établissement de la Paix, et
notamment celui de la Palestine que l’ONU appelle de ses voeux. Peu
importe si c’est à la place d’Israël, il faut bien que quelqu’un se
sacrifie.
On ne peut s’empêcher de relire les prophètes : « Oracle, parole
de l’Eternel sur Israël. Ainsi parle l’Eternel, qui a étendu les cieux
et fondé la terre, et qui a formé l’esprit de l’homme au dedans de lui :
Voici, JE ferai de Jérusalem une coupe d’étourdissement pour tous les
peuples d’alentour, et aussi pour Juda dans le siège de Jérusalem. En ce
jour-là, JE ferai de Jérusalem une pierre pesante pour tous les peuples; Tous ceux qui la soulèveront seront meurtris; et toutes les nations de la terre s’assembleront contre elle » - Zacharie 12 :1-3.
C’est intéressant, car en Genèse 12 :1-3, Dieu promet à Abraham (à Isaac et Jacob, et à leur postérité), qu’il sera « une bénédiction pour toutes les familles de la terre ».
Le monde ignore-t-il tous les
bienfaits dont le peuple juif a été l’instigateur, dans tous les
domaines – scientifique, médical, technologique, artistique, agricole,
sécuritaire… ? Les nations veulent-elles oublier toutes les bénédictions
amenées par Israël à l’humanité ?…
- Oui, car Israël dérange, le monde ne voulant pas être redevable au peuple juif.
Eglise, où es-tu ?
L’Eglise est tombée elle aussi dans le piège de la Grèce, séduite
par la déesse Raison. Je cite un rabbin de Jérusalem, écrivant sur
‘Hanoukah : « Le conflit entre la philosophie grecque et la Torah est
celui, entre la “raison” et la “Emouna” (la foi et la confiance totale
en Dieu). C’est du moins, de cette manière tendancieuse, que les “Grecs”
présentent leur opposition à la foi, comme si, servir Dieu, s’attacher à
Lui et Le suivre, impliquait que l’homme renonce à son intelligence et à
sa raison … La ruse des “Grecs” et du monde occidental qui en
découle, est qu’ils sont arrivés à persuader le “monde” que
l’Intelligence est du côté de la “liberté” de pensée, et
l’obscurantisme du coté de Dieu : le progrès de la laïcité contre la
pesanteur de la religion » (Rav H. Dynovisz)
Dès le début, au 3e siècle avec Origène, alors
qu’Alexandrie était le siège principal de l’érudition et de la
littérature grecque et celui de la théologie chrétienne, l’Eglise a bâti
une théologie dans laquelle elle a spiritualisé les Écritures, de telle
manière qu’elles ne devaient pas être comprises de façon littérale,
mais allégorique, y compris en ce qui concerne Israël.
Origène devint le père de
l’interprétation allégorique des Écritures. Il a conclu que les masses
de Gentils/Goyim constituant à présent l’Eglise étaient « le nouvel
Israël ». Il a conduit l’Eglise séduite par la pensée grecque à
développer la « théologie du remplacement ».
Les Pères de l’Eglise, Augustin,
Jérôme, Ambroise, Chrysostome… ont continué à creuser le sillon. Le roi
Constantin a entériné cette pensée par différents conciles et canons
apostoliques, excluant shabbat et fêtes bibliques, se démarquant de
toute référence hébraïque. L’Eglise a ainsi coupé ses racines juives,
pour les replanter dans le terreau du paganisme.
Il est intéressant de noter que Platon
et Socrate, les chantres de la pensée grecque, ont développé trois
points : 1) la séparation du séculier et du spirituel, 2) l’implication
dans l’homosexualité et la pédérastie (ils l’étaient tous deux), 3) le
modèle fasciste de gouvernement dans l’ouvrage de « la République », en
utilisant la ville Etat de Sparte comme exemple, avec sa société
militaire et homosexuelle. La société idéalisée de Platon comprenait
notamment l’élimination de la famille comme entité sociale (selon Derek
White, “Théologie du remplacement”, Emeth Editions).
‘Hanoukah, le combat pour la lumière
Il est très intéressant de voir actuellement des ‘Hanoukkiot se dresser dans de nombreuses villes du monde ! Ce sont ces chandeliers à neuf branches installés par le ‘Habad, le courant hassidique du judaïsme. Et l’on voit souvent les grands de ce monde allumer les bougies de la ‘Hanoukiah…
Le monde a besoin d’un vrai miracle,
symbolisé par celui opéré par Dieu qui a pourvu à l’huile sainte
destinée à garder vivante la flamme divine. Les ténèbres sont à l’œuvre
au travers d’une idéologie terroriste tendant à asservir l’humanité, et
d’une civilisation tendant à expulser Dieu hors de sa pensée. Pour ceux
qui se demandent : « Que fait Dieu ?… », la réponse est dans nos mains,
celles de l’homme à qui Dieu a confié la création ; nous en sommes
responsables.
« J’ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie,
afin que tu vives, toi et ta postérité… » - Deut 30 :19.
- See more at: http://www.shalom-israel.info/?p=5080#sthash.wu2mTlZL.dpuf‘Hanoukah – un message tellement actuel !
Cette définition de Wikipedia révèle
trois ennemis distincts : 1) les Syriens/Iraniens (les Séleucides)
représentant les Islamistes actuels, 2) le monde grec, la civilisation
occidentale, ne supportant pas cette exception juive, et 3) les Juifs
hellénisants que nous verrions comme les Juifs de gauche antisionistes
et ONG israéliennes soutenues par l’Europe ou encore des hommes comme le
milliardaire Juif George Soros – voir LIEN.
Plus que jamais, selon le monde, les
Israéliens et les Juifs en général sont responsables de tous les maux,
même des attentats de Paris… Plus que jamais, on exècre ce
particularisme israélien qui empêche l’établissement de la Paix, et
notamment celui de la Palestine que l’ONU appelle de ses voeux. Peu
importe si c’est à la place d’Israël, il faut bien que quelqu’un se
sacrifie.
On ne peut s’empêcher de relire les prophètes : « Oracle, parole
de l’Eternel sur Israël. Ainsi parle l’Eternel, qui a étendu les cieux
et fondé la terre, et qui a formé l’esprit de l’homme au dedans de lui :
Voici, JE ferai de Jérusalem une coupe d’étourdissement pour tous les
peuples d’alentour, et aussi pour Juda dans le siège de Jérusalem. En ce
jour-là, JE ferai de Jérusalem une pierre pesante pour tous les peuples; Tous ceux qui la soulèveront seront meurtris; et toutes les nations de la terre s’assembleront contre elle » - Zacharie 12 :1-3.
C’est intéressant, car en Genèse 12 :1-3, Dieu promet à Abraham (à Isaac et Jacob, et à leur postérité), qu’il sera « une bénédiction pour toutes les familles de la terre ».
Le monde ignore-t-il tous les
bienfaits dont le peuple juif a été l’instigateur, dans tous les
domaines – scientifique, médical, technologique, artistique, agricole,
sécuritaire… ? Les nations veulent-elles oublier toutes les bénédictions
amenées par Israël à l’humanité ?…
- Oui, car Israël dérange, le monde ne voulant pas être redevable au peuple juif.
Eglise, où es-tu ?
L’Eglise est tombée elle aussi dans le piège de la Grèce, séduite
par la déesse Raison. Je cite un rabbin de Jérusalem, écrivant sur
‘Hanoukah : « Le conflit entre la philosophie grecque et la Torah est
celui, entre la “raison” et la “Emouna” (la foi et la confiance totale
en Dieu). C’est du moins, de cette manière tendancieuse, que les “Grecs”
présentent leur opposition à la foi, comme si, servir Dieu, s’attacher à
Lui et Le suivre, impliquait que l’homme renonce à son intelligence et à
sa raison … La ruse des “Grecs” et du monde occidental qui en
découle, est qu’ils sont arrivés à persuader le “monde” que
l’Intelligence est du côté de la “liberté” de pensée, et
l’obscurantisme du coté de Dieu : le progrès de la laïcité contre la
pesanteur de la religion » (Rav H. Dynovisz)
Dès le début, au 3e siècle avec Origène, alors
qu’Alexandrie était le siège principal de l’érudition et de la
littérature grecque et celui de la théologie chrétienne, l’Eglise a bâti
une théologie dans laquelle elle a spiritualisé les Écritures, de telle
manière qu’elles ne devaient pas être comprises de façon littérale,
mais allégorique, y compris en ce qui concerne Israël.
Origène devint le père de
l’interprétation allégorique des Écritures. Il a conclu que les masses
de Gentils/Goyim constituant à présent l’Eglise étaient « le nouvel
Israël ». Il a conduit l’Eglise séduite par la pensée grecque à
développer la « théologie du remplacement ».
Les Pères de l’Eglise, Augustin,
Jérôme, Ambroise, Chrysostome… ont continué à creuser le sillon. Le roi
Constantin a entériné cette pensée par différents conciles et canons
apostoliques, excluant shabbat et fêtes bibliques, se démarquant de
toute référence hébraïque. L’Eglise a ainsi coupé ses racines juives,
pour les replanter dans le terreau du paganisme.
Il est intéressant de noter que Platon
et Socrate, les chantres de la pensée grecque, ont développé trois
points : 1) la séparation du séculier et du spirituel, 2) l’implication
dans l’homosexualité et la pédérastie (ils l’étaient tous deux), 3) le
modèle fasciste de gouvernement dans l’ouvrage de « la République », en
utilisant la ville Etat de Sparte comme exemple, avec sa société
militaire et homosexuelle. La société idéalisée de Platon comprenait
notamment l’élimination de la famille comme entité sociale (selon Derek
White, “Théologie du remplacement”, Emeth Editions).
‘Hanoukah, le combat pour la lumière
Il est très intéressant de voir actuellement des ‘Hanoukkiot se dresser dans de nombreuses villes du monde ! Ce sont ces chandeliers à neuf branches installés par le ‘Habad, le courant hassidique du judaïsme. Et l’on voit souvent les grands de ce monde allumer les bougies de la ‘Hanoukiah…
Le monde a besoin d’un vrai miracle,
symbolisé par celui opéré par Dieu qui a pourvu à l’huile sainte
destinée à garder vivante la flamme divine. Les ténèbres sont à l’œuvre
au travers d’une idéologie terroriste tendant à asservir l’humanité, et
d’une civilisation tendant à expulser Dieu hors de sa pensée. Pour ceux
qui se demandent : « Que fait Dieu ?… », la réponse est dans nos mains,
celles de l’homme à qui Dieu a confié la création ; nous en sommes
responsables.
« J’ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie,
afin que tu vives, toi et ta postérité… » - Deut 30 :19.
- See more at: http://www.shalom-israel.info/?p=5080#sthash.wu2mTlZL.dpuf‘Hanoukah – un message tellement actuel !
Cette définition de Wikipedia révèle
trois ennemis distincts : 1) les Syriens/Iraniens (les Séleucides)
représentant les Islamistes actuels, 2) le monde grec, la civilisation
occidentale, ne supportant pas cette exception juive, et 3) les Juifs
hellénisants que nous verrions comme les Juifs de gauche antisionistes
et ONG israéliennes soutenues par l’Europe ou encore des hommes comme le
milliardaire Juif George Soros – voir LIEN.
Plus que jamais, selon le monde, les
Israéliens et les Juifs en général sont responsables de tous les maux,
même des attentats de Paris… Plus que jamais, on exècre ce
particularisme israélien qui empêche l’établissement de la Paix, et
notamment celui de la Palestine que l’ONU appelle de ses voeux. Peu
importe si c’est à la place d’Israël, il faut bien que quelqu’un se
sacrifie.
On ne peut s’empêcher de relire les prophètes : « Oracle, parole
de l’Eternel sur Israël. Ainsi parle l’Eternel, qui a étendu les cieux
et fondé la terre, et qui a formé l’esprit de l’homme au dedans de lui :
Voici, JE ferai de Jérusalem une coupe d’étourdissement pour tous les
peuples d’alentour, et aussi pour Juda dans le siège de Jérusalem. En ce
jour-là, JE ferai de Jérusalem une pierre pesante pour tous les peuples; Tous ceux qui la soulèveront seront meurtris; et toutes les nations de la terre s’assembleront contre elle » - Zacharie 12 :1-3.
C’est intéressant, car en Genèse 12 :1-3, Dieu promet à Abraham (à Isaac et Jacob, et à leur postérité), qu’il sera « une bénédiction pour toutes les familles de la terre ».
Le monde ignore-t-il tous les
bienfaits dont le peuple juif a été l’instigateur, dans tous les
domaines – scientifique, médical, technologique, artistique, agricole,
sécuritaire… ? Les nations veulent-elles oublier toutes les bénédictions
amenées par Israël à l’humanité ?…
- Oui, car Israël dérange, le monde ne voulant pas être redevable au peuple juif.
Eglise, où es-tu ?
L’Eglise est tombée elle aussi dans le piège de la Grèce, séduite
par la déesse Raison. Je cite un rabbin de Jérusalem, écrivant sur
‘Hanoukah : « Le conflit entre la philosophie grecque et la Torah est
celui, entre la “raison” et la “Emouna” (la foi et la confiance totale
en Dieu). C’est du moins, de cette manière tendancieuse, que les “Grecs”
présentent leur opposition à la foi, comme si, servir Dieu, s’attacher à
Lui et Le suivre, impliquait que l’homme renonce à son intelligence et à
sa raison … La ruse des “Grecs” et du monde occidental qui en
découle, est qu’ils sont arrivés à persuader le “monde” que
l’Intelligence est du côté de la “liberté” de pensée, et
l’obscurantisme du coté de Dieu : le progrès de la laïcité contre la
pesanteur de la religion » (Rav H. Dynovisz)
Dès le début, au 3e siècle avec Origène, alors
qu’Alexandrie était le siège principal de l’érudition et de la
littérature grecque et celui de la théologie chrétienne, l’Eglise a bâti
une théologie dans laquelle elle a spiritualisé les Écritures, de telle
manière qu’elles ne devaient pas être comprises de façon littérale,
mais allégorique, y compris en ce qui concerne Israël.
Origène devint le père de
l’interprétation allégorique des Écritures. Il a conclu que les masses
de Gentils/Goyim constituant à présent l’Eglise étaient « le nouvel
Israël ». Il a conduit l’Eglise séduite par la pensée grecque à
développer la « théologie du remplacement ».
Les Pères de l’Eglise, Augustin,
Jérôme, Ambroise, Chrysostome… ont continué à creuser le sillon. Le roi
Constantin a entériné cette pensée par différents conciles et canons
apostoliques, excluant shabbat et fêtes bibliques, se démarquant de
toute référence hébraïque. L’Eglise a ainsi coupé ses racines juives,
pour les replanter dans le terreau du paganisme.
Il est intéressant de noter que Platon
et Socrate, les chantres de la pensée grecque, ont développé trois
points : 1) la séparation du séculier et du spirituel, 2) l’implication
dans l’homosexualité et la pédérastie (ils l’étaient tous deux), 3) le
modèle fasciste de gouvernement dans l’ouvrage de « la République », en
utilisant la ville Etat de Sparte comme exemple, avec sa société
militaire et homosexuelle. La société idéalisée de Platon comprenait
notamment l’élimination de la famille comme entité sociale (selon Derek
White, “Théologie du remplacement”, Emeth Editions).
‘Hanoukah, le combat pour la lumière
Il est très intéressant de voir actuellement des ‘Hanoukkiot se dresser dans de nombreuses villes du monde ! Ce sont ces chandeliers à neuf branches installés par le ‘Habad, le courant hassidique du judaïsme. Et l’on voit souvent les grands de ce monde allumer les bougies de la ‘Hanoukiah…
Le monde a besoin d’un vrai miracle,
symbolisé par celui opéré par Dieu qui a pourvu à l’huile sainte
destinée à garder vivante la flamme divine. Les ténèbres sont à l’œuvre
au travers d’une idéologie terroriste tendant à asservir l’humanité, et
d’une civilisation tendant à expulser Dieu hors de sa pensée. Pour ceux
qui se demandent : « Que fait Dieu ?… », la réponse est dans nos mains,
celles de l’homme à qui Dieu a confié la création ; nous en sommes
responsables.
« J’ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie,
afin que tu vives, toi et ta postérité… » - Deut 30 :19.
- See more at: http://www.shalom-israel.info/?p=5080#sthash.wu2mTlZL.dpuf
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